samedi 8 décembre 2012

SYN 3 - LE SCHISME D'IRSHOU



   LE SCHISME d’IRSHOU    
    
Et la HIÉRARCHIE des 2 PRINCIPES















RAM, Fils de DIEU.             IRSHOU, fils du singe.
Le PLUS, peut le Moins !                                Le moins, peut le Plus ?




VYASSA




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I – HISTORIQUE. - 2
1 – 1- Sa NATURE.
I – 2- La  SCIENCE dans la SYNARCHIE du BÉLIER
I – 3- Ses CONSÉQUENCES. - 5

IICORRESPONDANCES CONTEMPORAINES. - 8

II –1- SCIENCE de l’UNITÉ, et :
CONFUSION : CAUSES / CONSÉQUENCES.
II –2- COMMENTAIRES sur les CONSÉQUENCES:
RAM, Fils de Dieu / Irshou, fils du singe ! – 10

III – Le RETOUR à L’ORDRE et la SCIENCE QUANTIQUE !-13
III-1- COMMENT la SCIENCE de POINTE REND-T-ELLE
leur PLACE RESPECTIVE aux DEUX PRINCIPES ? -14
III-1-1- Deux univers : Prf. Dutheil.
III-1-2- Qu’est la maladie, sa Génèse ? - 16
III-1-3- La Musique multidimensionnelle. -17
III-1-4- Pour un autre chercheur, le Dr. Chopra. -18
III-1-5- Situons ces travaux par rapport à l’enseignement :

IV-PLACE et VALEUR des DEUX PRINCIPES. -20
Bibliographie

V – RÉFÉRENCES à l’AUTORITÉ de l’ENSEIGNEMENT
du MAÎTRE OMRAAM  MIKHAEL  AÎVANHOV - 21
V –1- Les PENSÉES  QUOTIDIENNES…
V -2- Les CONFÉRENCES. – 26

DÉTAIL : des Pensées Quotidiennes et Conférences. – 34 

*****


LE  SCHISME  D’IRSHOU
Ou
La Révolte du (des) Cadet (s)

***

I- HISTORIQUE

 

I -1- Sa  NATURE


      *239 – Un peu avant le Kali-Youg, disent les livres sacrés des Brahmes, près de trente cinq siècles après Ram (soit environ 3250 avant J-C), l’empire universel du Bélier  reçut, en son centre même, son premier germe de dissolution : la fonction de Kousha (Empereur) de l’Inde était devenue héréditaire.
        L’empereur Ougra venait de mourir, et son fils aimé Tarak’hya lui avait succé-dé. Le fils cadet, Irshou, Régent des Provinces, était extrêmement ambitieux et, ne pouvant atteindre le souverain Pouvoir par  les voies légales et légitimes, il provoqua un schisme, afin de chercher un sceptre dans une révolution.
      193 - Au moment de l’Histoire où se placent ces faits indéniables, l’ancien monde, l’ancien cycle fondé par Ram, avait atteint un degré de culture scientifique peu ordi-naire. C’est pourquoi, nous allons voir Irshou, avant de recourir aux armes, affirmer son opposition dans l’Intelligence pure et dans le domaine des Principes les plus transcendants.
* Page de : « Mission des Juifs » Tome 1, de Saint-Yves d’Alveydre.
                   
I -2- La  SCIENCE dans la SYNARCHIE du BÉLIER

      241 - La quadruple hiérarchie des Sciences, léguée par les Temples de la Race rouge au Sacerdoce de la Race noire et par ce dernier à la Théocratie de Ram, ramenait mathématiquement, géométriquement toutes les Sciences et tous les Arts à l’Unité divine, Wodh, Iod…
-       L’Unité divine représentée par Wodh était considérée comme inaccessi-ble, insaisissable dans son Essence, en dehors de la synthèse des Scien-ces.
-       Sa première manifestation, la seule qui fut biologiquement accessible à l’âme et à l’esprit humain, était envisagée comme une Dyade, cette union manifestant l’inaccessible Unité, s’appelait, dans les sanctuaires  I-ÉVÉ, ISWARA-PRACRITI, OSIRIS-ISIS,  etc.…
242 - Tel est le Dieu Créateur, Père et Mère, de Moïse, dont les quatre Lettres corres-pondaient à la quadruple hiérarchie des Sciences:
-       La 1ère lettre : I, exprime le Principe Masculin universel, l’Esprit de l’Univers ;
-       Les 3 autres lettres : É.V.É, expriment le Principe Féminin universel ou l’Âme de l’Univers, la Vie.
243 - La divinité considérée comme créatrice de l’univers n’était nullement envisagée sous l’aspect d’un Dualisme, d’une opposition entre deux Principes adverses, Osiris\ Isis ; I \ Évé;mais comme une Dyade, comme l’indissoluble union biologique à laquelle l’Univers doit son existence.

Tableau de correspondances de la quadruple Hiérarchie des Sciences.



 243 - Les sciences permettaient en effet, de constater les deux aspects concordants, quoique inversement proportionnels, de la Vérité :
                -   l’un intelligible et descendant, d’où l’idée purement scientifique de Chute ;
-       l’autre sensible et ascendant, d’où la perfectibilité s’élevant d’autant que la Perfection s’abaisse en elle.
244 - Toute existence résulte d’un double mouvement :
-       génésique et générateur,
-       intelligible et sensible,
-       spirituel et hyperphysique.

      Irshou n’avait pas parcouru les degrés supérieurs de l’initiation ; sans science et sans guide, il voulut aller au-delà de ces données et posa, en dehors des Temples, les interrogations suivantes :
-       « - À qui appartient la primauté, l’excellence dans la génération de l’Univers et de la Vie ? Est-ce au Dieu mâle ou à la Nature féminine, à IOD ou à HÉ-VAU-HÉ ?
-       En tombant à genoux devant le plus grand des Dieux qui nous soit accessible, en évoquant le feu du ciel sur l’autel, faut-il dire d’abord notre Père ou notre Mère ?
-       La femme est-elle moins digne que l’homme d’aimer, de comprendre, d’a-dorer, de célébrer l’unité, l’union de l’Esprit et de l’Âme universels, de l’Époux et de l’Épouse ? »
      246- Irshou prit  brusquement parti, avec une passion d’autant plus dangereuse, qu’elle était entraînante, pour l’excellence d’ÉVÉ, de PRACRITI, d’ISIS, de l’Éternel Féminin sur l’Éternel Masculin, de la Nature sur Dieu, de l’Âme sur l’Esprit.
247 - Sans nier  l’Ordre spirituel, qui était alors scientifiquement démontré, ni encore moins l’Âme du Monde dont les preuves étaient partout, il revendiqua comme plus directement bienfaisant pour les êtres vivants l’Ordre formel, le Féminin universel, d’où sortent immédiatement toutes les manifestations, quelles qu'elles soient.
      C’est la Mère, avant tout, qu’il faut invoquer, déclara-t-il dans les assemblées. C’est la Nature qui donne à tous, êtres et choses, un espace, un milieu de formation propre, une substance et une subsistance, l’âme et le corps, la vie réelle, individua-lisée, la Loi de toute vie et de toute chose. Sans elle, que seraient l’Univers et tous les mondes infinis, et tous les milliards d’êtres qui participent de sa Vie. Ce qu’ils seraient, le voici: une pensée occulte, un germe dans l’esprit pur, une possibilité dans Iswara, mais nullement un acte réalisé en Pracriti ; tout ne serait donc rien! Et l’Univers n’existant pas, nulle prière d'être existant ne chercherait Celui qui ne serait jamais Père, n’étant pas Époux !
      C’est donc à la Mère que nous devons tout d’abord la prière, puisque c’est à Elle que l’Univers doit d’exister, de vivre, de sentir, d’assentir.

       Les deux premiers Conseils citèrent Irshou à leur tribunal et le Pontife lui répondit :
248 « -Tu n’as rien dit qui ne soit connu de tout temps : la Science des Principes, pas plus que celle des Origines, la méthode intelligible et descendante pas plus que la méthode sensible et ascendante, n’infirment le fond de tes paroles, quel que soit le sentiment qui les inspire.
      Mais d’une majeure juste et de Principes vrais, un esprit égaré par une âme pas-sionnée peut tirer des conclusions fausses. Or la passion obscurcit ta pensée, quand tu veux que la prière monte d’abord à la Mère, à l’Âme universelle, à la Vie, puisque cette Puissance créatrice de l’Univers est Père et Mère à la fois. Pourquoi divises-tu l’Indivisible, l’Indissoluble Union de l’Esprit et de l’Ame universels, de Dieu et de la Nature ? Pourquoi veux-tu qu’on prie l’Un avant l’Autre, quand leur Sagesse et leur Amour mutuels ne font de l’Un et de l’Autre qu’un seul et même Esprit de Vie et de Vérité ?
      Tu as besoin de quelques années d’entraînement dans les sciences et dans les arts psychurgiques grâce auxquels, du fond de nos cryptes sacrées, les yeux ouverts et en pleine possession de toi-même, ton âme affranchie des liens du corps pourra remon-ter dans cette Âme universelle et, faisant usage de tous ces sens internes, entendre et sentir les leçons des Dieux supérieurs, les enseignements directs des Esprits glorifiés.
      Ce n’est qu’au prix de cet immense effort qu’on peut atteindre biologiquement l’Unité de la Vie et de la Connaissance. Car, si on ne passe pas ainsi, dés cette exis-tence par la porte -249-  de la mort, pour renaître à l’Universelle Vie cosmique, com-ment peut-on parler, avec expérience et justesse dans l’observation, des questions que tu soulèves si imprudemment ? L’âme, pour  réfléchir la Vie céleste et la divine Vérité, doit être calme dans sa triple sphère : dans ses hauteurs intellectuelles – dans son milieu passionnel – dans ses profondeurs instinctives. Sinon craint de porter au-dehors la tempête qui t’agite en dedans ! » 
     « - Oui, la guerre est en moi, répondit  Irshou, c’est au premier bienfait qu’est le premier amour. Ce bienfait n’est pas un Principe, mais l’Origine ; c’est la Naissan-ce, la Vie. Il vient à l’enfant par la femme, à l’univers entier  par  cette Femme des femmes, la Nature…
250 - Suis-je impie, suis-je injuste, osez l’exprimer publiquement ! J’en appellerai à  tous et ceux qui m’aiment me suivront ! »

       - « Ah ! Reprenaient les Pontifes, malheur  aux Peuples si l’amour seul les diri-ge ; car  la haine se mettra sans recours parmi eux. L’Amour est le feu cosmique lui-même, dont la Sagesse est la lumière ; et tu veux ôter cette lumière du gouverne-ment des âmes.
      La Vérité et la Vie universelle habitent nos temples ; la Science intégrale a, com-me cette Vérité et cette Vie, quatre hiérarchies ; le Nom ineffable a quatre Lettres et, de ces quatre, tu veux supprimer la Première que tu ne connais pas.
        C’est pour éviter  mille mots publics et privés que nous aternoyons ce que tu veux précipiter. La Sagesse est lente, elle ne se manifeste par de nouveaux rites que si les mœurs l’exigent absolument.
251 - Profondément inégaux d’intelligence et de volonté, la plupart des hommes ne percevront comme vraies que les apparences que la sensation ou le sentiment offri-ront à leur seule raison, et ils deviendront le jouet des phénomènes, et ils s’éloigne-ront de nous qui seuls pourrions les rectifier par la gradation lente des enseigne-ments et des révélations…    
     Ils prendront l’effet pour la cause et se perdront dans un matérialisme irréel et sans fond… Ils se dévoreront vainement dans la compétition d’un Pouvoir impuis-sant, sans Autorité pour les éclairer.
       Un petit nombre seulement d’hommes peut s’élever jusqu’à la Première Lettre du Nom sacré, jusqu’à la quatrième hiérarchie de la Vie et des Sciences et cela par la seule force de leur méditation, par le pouvoir de l’observation et de l’expérience di-recte, quand les Puissances intelligentes du Ciel le veulent, quand la divinité met son Esprit de Sagesse dans leur intelligence et dans leur science acquise.
     201- Sais-tu ce que dit la Science complète, miroir de toute la Vie, image de toute la Vérité ?
« Synthèse, Union, Unité. »

I 3 - Ses CONSÉQUENCES


      252- L’Autorité :
      « - Prends garde à toi fils de la Femme !
-       L’Ordre ascendant de la Mère des individus et des faits physiques existants est accessible aux sens, et peu d’hommes pourtant comprennent cet ordre qui constitue par en bas la première hiérarchie des Sciences… Ils ne verront ainsi que les talons de la Mère divine.
-       L’Ordre descendant du Père, de l’Esprit pur à travers les règnes cosmogoni-ques, à travers les Esprits cycliques de toute chair  jusqu’aux individus physi-ques, est purement intelligible.
     Pas un homme sur 10.000 ne peut aborder la hiérarchie de Sciences qui correspond à cet Ordre Masculin, ni le comprendre sans symboles, fruits d’un Art précis qu’autorise cette Science transcendante. Ton culte violera cet Ordre tout entier.
253 - La raison peut tirer des conséquences logiques d’un point de départ vrai ou faux, mais jamais elle ne peut trouver en elle-même et par elle seule une Cause ou un Principe universel, si l’Intelligence ne le lui fournit. Or, comment les lui fourni-ra-t-elle si, au sommet du culte et de l’Université que tu veux créer, tu mets l’Amour avant la Sagesse, l’Âme avant l’Esprit, l’Épouse avant l’Époux, la Nature avant le Dieu du Ciel ? Ainsi :
     Toute science non phénoménale s’éteignant, toute Initiation de l’Intelligence aux Principes cosmiques se fermant, toute pensée d’universalité se particularisant, nulle hiérarchie intelligible, nul gouvernement intelligent des Sociétés ne sera plus possi-ble.
254 - Dans l’homme en fonction générale de Pontificat, de Sacerdoce, d’Empire, de Royauté, de Magistrature, de Richesse, les naturalistes ne verront plus que l’indivi-du de chair et d’os, revêtu d’oripeaux, dans le sens symbolique, dont la forme intelli-gible s’évanouira pour eux… Le père sera un homme comme les autres hommes, la mère, une femme comme toutes les autres femmes et l’enfant, secouant tout devoir réel, dictés par la Sagesse, revendiquera tous les droits fictifs de sa folie.
      Le passé ne comprenant plus le présent, tout tombera vers l’avenir, pur néant, que l’homme réalise à son image ; mais cet avenir redeviendra l’inconnu, l’imprévu. Car, au lieu de déterminer les événements, au lieu de diriger scientifiquement le cours des choses sociales et individuelles, on en sera de plus en plus le jouet grâce à l’ignorance, grâce à la rupture de l’Unité de la Connaissance et de la Vie.
       L’éphémère pensant doutera que l’Univers soit un Être vivant et intelligent, l’Être des êtres. La Terre elle-même apparaîtra comme une machine engendrant, d’une manière inexplicable, la Vie pour la Mort, comme une matière brute d’où sortent et où rentrent des atomes uniquement en proie à des Forces brutales.
255- La biologie de ce globe ne viendra plus de l’Univers, elle ne procèdera plus divinement de haut en bas, ni du Principe, mais matériellement de bas en haut et des Origines. De sortes que toutes les notions s’éclaireront d’une lueur fantastique, infernale, jailliront non des sommets célestes de l’Intelligence, mais de l’abîme démoniaque des Instincts.
     Le Père immédiat de la vie humaine sera le singe des forêts ; le père de toute la vie ici-bas sera l’infusoire reptiforme ; la mère sera la glue marine, la boue terres-tre…
      Et les conséquences de ta folie dans l’Ordre invisible ?  L’homme crée son Ciel d’outre-tombe, dés cette vie, et selon l’énergie créatrice de sa vie. Actuellement le Ciel des âmes de cette terre est une Société divine, heureuse, harmonieuse, unie com-me l’État social terrestre que RAM a fondé, et que nous conservons. Mais, que la hié-rarchie des Pouvoirs arbitraux, que le Règne actuel de la Synarchie trinitaire vienne à tomber en morceaux sous les coups de l’Anarchie, les puissances terrestres, en s’opposant les unes aux autres, opposeront leurs esprits collectifs - égrégores -, et les Dominations se dévoreront entre elles, dans le Ciel propre aux hommes de ce globe comme sur cette Planète elle-même. 256 - Tu mettras donc l’enfer dans l’Ordre invi-sible, comme dans l’Ordre visible de ce cycle humain, en donnant le pas aux passi-ons individuelles sur  les intelligences, consciemment et sciemment ralliées à  l’Ordre universel.

- Tel est l’Intellect enseignant, telle est la Société des hommes.
- Telles sont les idées semées, tels sont aussi les faits moissonnés dans l’ordre ou le désordre  social.

      Les hommes à ton image seront forcément de troisième caste ontologique. Le cercle de leur  vie se bornera à la spéculation des phénomènes et des intérêts maté-riels. Analystes par  essence, ils seront incapables de toute Religion ou, ce qui re-vient au même, de toute Synthèse ; ils voudront partout dominer ce qu’ils ne sauront pas régir. Ils ne comprendront plus la Liberté dans le sens physiologique et sain de nos Principes, où le bien de chacun vient de tous et du Souverain Bien. La  leur consistera à faire tomber le ciel social sur leur tête, et à courir au hasard sous la pluie des fatalités évoquées par eux… Et l’État social dissocié opposera entre eux ces membres ensanglantés, entrechoqués par ta prière insensée, dans des guerres et des révolutions sans fin : chacun contre tous et tous contre chacun.
257 – Irshou, nous pourrions te frapper dés maintenant, mais nous sommes l’Autorité et non le Pouvoir ; et, si nous avons le devoir d’éclairer ta pensée, nous n’avons pas le droit de préjuger de tes actes, en attentant à ta liberté ou à ta vie. Nous te convions à l’Ordre Universel du Bélier, à la Paix Universelle de l’Agneau. Sois libre d’y rester ou d’en sortir par l’épée, en provoquant l’épée, en mettant à mort le Dieu social.
      Quant à nous, nous ne devancerons pas l’heure d’une innovation religieuse que les mœurs ne réclament pas ; mais, quand l’heure aura sonnée, nous saurons faire avec sagesse, avec science et avec art ce qui devra être accompli. » 

(Les nombres n* devant des textes sont les pages de « Mission des Juifs » Volume 1,de St .Yves d’Alveydre)

II CORRESPONDANCES CONTEMPORAINES

II - 1- SCIENCE de l’UNITÉ                                                          et CONFUSION, causes/conséquences.
Propositions analogiques :



Commentaires à partir de ce tableau comparatif :


      (I) et (II) –Nous avons vu que le Nom de Dieu : IÉVÉ (ou Iod Hé Vav Hé), contient les deux Principes complémentaires unifiés, la Dyade (non la dualité).
    I (ou Yod)

    ÉVÉ (ou Hé Vav Hé) = le Principe Féminin, formateur; le (II).
   
« Au commencement est le Verbe. »

      Le Verbe c’est la Pensée divine qui Veut s’exprimer, (le I) qui  veux réaliser l’homme à son image et à sa ressemblance.
      À partir de là, elle va descendre des plans subtils jusqu’à se manifester par la matière ; c’est l’Involution
      Les premières manifestations, très subtiles, seront les quatre éléments : feu, air, eau et terre, qui, successivement, se condensent.
      Alors, avec la matière pour support, l’Esprit va pouvoir se manifester ; c’est l’Évolution… Dans le temps ; les éléments s’assemblent dans des ensembles de plus en plus complexes, sous l’impultion de l’esprit… Peu à peu il réussit à animer cette matière… Apparaissent les règnes de la Nature.
    C’est à partir de l’homme, dans les plus hauts degrés de sa conscience, que l’Esprit parviendra à se manifester pleinement. Alors, cette entité accèdera au pouvoir du Verbe créateur et participera réellement au Travail de l’Intelligence cosmique dans la création des univers…et le Cycle sera bouclé.

Autre schéma, d’une autre dimension...

     (1) et (2) – « Au commencement est l’homme », une autorité spirituelle, un Initié qui a une idée, un projet  le (1) et veux qu’il se réalise le (2): soit, par exemple, ame-ner des « enfants » à un degré de compétence, de conscience, d’autorité semblable au sien. Pour cela, il conçoit un plan, un programme d’éducation, d’instruction, le (1), qu’il veut répandre en touchant un grand nombre d’enfants. Pour y parvenir, parmi ses moyens, il choisit d’utiliser la télévision le (2), afin de diffuser son programme.
        Ainsi, les deux parties du processus, (le 1 et le 2) ne sont que les deux aspects d’une seule et même réalité : l’homme, qui conçoit et crée, mais dont la volonté est véhiculée d’abord par le (1), le programme (involution) avec lequel il veut faire évo-luer l’humanité, ensuite, par le (2), le récepteur de télévision (évolution), qui sera conçu et réalisé par une autre personne qui l’aura conçu et réalisé, selon le même pro-cessus.

       Ainsi, le (1), dans l’ordre créateur, est premier et le (2) second, dans l’ordre réalisateur; les deux sont de même valeur, seulement leurs places sont différen-tes dans le temps.

      Or, notre humanité, ces « enfants » à qui les émissions sont destinées, s’ils ne « voient » que le poste, croit que le programme est « sécrété » par  lui ! Ils étudient son fonctionnement, constatent que si on enlève telle pièce, ça ne marche plus et ils en concluent que c’est elle qui est à l’origine des émissions ! Le poste est là, il existe, pourquoi chercher dans l’invisible une  autre cause? Cependant, ce n’est pas le poste – le récepteur, le principe féminin - qui est premier, la cause…
      Affinons le parallélisme, l’analogie du second exemple (1/2) avec le 1er (I/II).
      L’homme est l’entité unitaire qui veut réaliser  son objectif ; il devra mettre en œuvre deux types d’action :  
-       Concevoir un programme, une émission le (1);
-       Disposer d’un support matériel, le récepteur  télé le (2), pour révéler le programme.
      Pour que l’interprétation analogique avec le Modèle (I/II) se vérifie, on doit préciser qu’à la réalisation du poste de télé peut correspondre l’incarnation de l’homme. Selon son degré de perfectionnement, - les trois côtés du triangle - il permettra à son écran, (sa conscience), de laisser apparaître l’émission avec plus ou moins de déformations, de précisions.
      S’il s’avère que la plus grande attention – ce qui dépend de l’homme – doit être portée à faire les choix de vie qui édifieront le meilleur corps possible, (le poste de télé, (le 2), par la pureté dans tous les plans, ce ne sera pas le But, comme le suggè-rent les idéologies matérialistes ! C’est est un Moyen pour réaliser les conditions qui lui permettront de recevoir l’Esprit, le Programme, (le 1), qui  seul peut guider, trans-former en arrangeant, en organisant nos structures corporelles et psychiques (la diffé-rence entre le charbon et le diamant, c’est la structure-. Conf. du 10/04/1982 : « Par la simplicité... – OMA.»). Alors, l’être humain sera à la ressemblance de son Père ; le fils prodigue sera retourné à Sa demeure !

         L’inversion des Principes, ou la négation du premier Principe conduit à la confusion des causes et des conséquences :
-       devant la Nature, les humains croient que tout vient d’elle, que c’est à une suite de hasards qu’on doit l’arrangement des atomes, des éléments… qui a abouti à la complexité du vivant…
-       les pièces du poste de télé se sont crées « spontanément » !
-        les microbes sont la cause des maladies…
-       les révolutions, les terrorismes sont les causes des violences, les banques des faillites (même si elles y participent, tels les microbes...) etc.
    
        C’est cette vision, cette approche que le Schisme d’Irshou a établie en inversant l’Ordre des Principes (qui a abouti à la négation du Premier, par inaptitude à  le percevoir, en ne développant plus les facultés subtiles nécessaires à cela. Il a mis à la première place le Principe Féminin : la manifestation, les phénomènes, le visible, les conséquences, l’accessible aux cinq sens…
              
     On se focalise sur les résultats, les évènements, sans chercher ce qui les a amenés ; c’est le lieu idéal pour les manipulations en tout genre : politiques, scientifiques, religieuses, idéologiques etc.  

II -2LES CONSÉQUENCES : ORDRE OU DÉSORDRE

Ram, Fils de Dieu…                                Irshou, fils du singe…


                         L’ORDRE…                                       LE DÉSORDRE
1°) - Profondément inégaux d’intelligence et de volonté, la plupart des hommes ne percevront comme vraies que les appa-rences que la sensation ou le sentiment offriront à leur seule raison, et ils deviendront le jouet des phénomènes, et ils s’éloigneront de nous qui seuls pourrions les rectifier par la gradation lente des enseignements et des révél-tions…Ref. 251
1’) On ne croit qu’à ce qu’on voit, touche, …la « réalité », ce sont les faits, les phé-nomènes, la matière…
On intervient sur le présent, le court ter-me, sans trop regarder  vers le passé, sans trop se préoccuper des conséquences pour  l’avenir.
On ne peut pas concevoir de chercher au-delà des phénomènes visibles, répertoriés, classés, analysés de plus en plus finement, … la vie « émane » d’eux.
2°) L’Ordre descendant : il est purement intelligible, pas un homme sur dix mille ne peut aborder la Science qui y corres-pond. Ce n’est qu’au prix d’un immense effort qu’on peut atteindre l’Unité de la Vie et de la Connaissance. Il faut passer, dés cette existence, par la porte de la mort pour naître à la vie cosmique ; ainsi l’âme, affranchie du corps, pourra remonter dans cette Âme universelle et, faisant usage de tous ses sens internes, voir, entendre et sentir les leçons des Dieux supérieurs, les enseignements directs des esprits glorifiés. Réf. 253

2’) L’approche de causes au-delà de la matière ne pouvant se faire à partir des cinq sens seuls, et  les autres ( sens spi-rituels )  étant  ignorés, non développés, cet aspect, ce côté de la réalité, de la Vérité sera occultée, voire nié.
Cette vision matérialiste n’exclue pas les croyances…
3°) Toute science non phénoménale s’éteignant, toute pensée d’universalité se particularisant, nulle hiérarchie intelligible, nul gouvernement intelligent des Sociétés ne sera plus possible. Réf
3’) N’ayant pas accès à la source invisible des manifestations du fait que les efforts nécessaires pour développer ses facultés spirituelles pour y accéder ne sont pas faits, l’approche du monde – matérialiste - sera analytique, sectaire et se perdra dans les complications infinies.
Aussi, comment un gouvernement, un Pouvoir pourrait-il se soumettre à une Hiérarchie spirituelle, scientifique authen-tique, qui arbitrerait  ses décisions sans équivoques ?
4°) Dans la fonction de sacerdoce, de royauté, les naturalistes ne verront plus que l’individu de chair et d’os, le symbole s’évanouira pour eux. Le père sera un homme comme les autres, la mère, une femme … et l’enfant revendiquera tous les droits fictifs de sa folie… Réf. 254

4’) Les fonctions n’étant plus scientifi-quement attribuées selon les classes ontologiques, des individus ambitieux mais d’ordre de conscience inférieur, ac-cèderont à ces fonctions. N’étant pas à la hauteur correspondante, ils en dévalorise-ront l’aura et c’est sur leur personne que se concentrera l’attention de leurs interlo-cuteurs, au lieu d’être sur leur fonction. S’en suivra tout le train des relations d’in-fluence, de pression, de faveurs, de privi-lèges…
On ne respectera plus la fonction, on craindra la personne ! ou on l’utilisera.

5°) Le passé ne comprenant plus le pré-sent, tout tombera vers l’avenir, pur néant, qui deviendra l’inconnu, l’imprévu car, au lieu de diriger scientifiquement le cours des choses sociales et individuelles, on en sera de plus en plus le jouet à cause de l’ignorance, grâce à la rupture de l’Unité, de la connaissance et de la Vie. Réf. 254
5’) En ne voyant le monde que comme le fruit du hasard, le résultat du combat de  forces brutales et anarchiques, il n’y aura pas de liens indéniables avec le passé expliquant le présent, de même, on ne verra pas les conséquences des choix pré-sents dans l’avenir proche et à plus forte raison, lointain.
L’avenir  étant imprévisible, que signi-fiera donc : gouverner ?

6°) L’éphémère pensant doutera que l’Univers soit un Être vivant et intelligent, L’Être des êtres. La Terre sera une ma-chine engendrant la vie pour la mort comme une matière brute d’où entrent et sortent des atomes en proie à des forces brutales ! Réf. 254

6’) La vision matérialiste proposera que la vie «  sort » de la matière ; que tout est mort, sans lois, le monde est insensé…

7°) La biologie de ce globe ne procèdera plus divinement du haut vers le bas, ni du Principe, mais matériellement, de bas en haut, et des Origines. Réf. 255
Le plus, peut le moins !
7’) L’évolution n’étant pas poussée par   l’involution de l’esprit, de la vie dans la matière, c’est de la matière que naîtra la vie… c’est du singe que descendra l’hom-me (Darwin)!
Le moins, peut le plus ?

8°) L’homme créant son ciel d’outre-tombe dés cette vie et n’ayant plus cons-cience de cela, il mettra l’enfer dans l’ordre invisible en donnant la prépondé-rance aux passions individuelles sur l’in-telligence, consciemment et sciemment ralliée à l’Ordre universel. Réf. 255
8’) Face à la mort, l’homme sera totale-ment dépourvu ; il cherchera à la repous-ser au maximum et n’aura aucun espoir quant au devenir des êtres chers disparus. La vie durant il ne se concentrera que sur  le profit maximum pour une vie éphémè-re, participant ainsi à l’injustice sociale : une violence qui en provoquera par la suite dans le monde. Ce climat de rap-ports de force, de relationnel tendu  se retrouvera dans l’au-delà  à  son insu, et il les y retrouvera…

9°) Les hommes à ton image – Irshou – seront forcément de 3ème caste ontologi-que. Le cycle de leur vie se bornera à la spéculation des phénomènes et des inté-rêts matériels.
Analystes par essence, ils seront incapa-bles de toute Religion ou, ce qui revient au même, de toute synthèse intellectuelle ou sociale.
Anarchistes par manque de synthèse, ils voudront pourtant dominer ce qu’ils ne sauront pas régir. Ils ne comprendront plus la Liberté dans le sens physiologique et sain de nos Principes, où le bien de chacun vient du Souverain Bien. La leur consistera à faire tomber le ciel social sur leur tête, et à courir au hasard sous la pluie des fatalités évoquées par eux. Et l’État social dissocié, opposera entre eux ses membres ensanglantés, entrechoqués par  ta prière insensée, dans des guerres et des révolutions sans fin…
Chacun contre tous et tous contre chacun ! Réf. 256


9’) N’ayant pas consciemment accès au plan subtil des causes, ou le niant, sans avoir  travaillé pour y aller, les humains s’évertueront à analyser les phénomènes mais ne sauront, ne pourront pas en dé-duire les causes réelles, ce qui a conduit à leur manifestation. Leurs conclusions seront partielles, sinon partiales, souvent contradictoires selon les paramètres pris en compte… d’où confusion, anarchie, abus de pouvoir, viol des droits fonda-mentaux, manipulations, langue de bois…
     Seule cette approche matérialiste, analytique, partielle du monde permet aux systèmes politiques de « fonctionner ». Cela serait impossible dans une démarche synthétique, holistique, où les causes subtiles de toute manifestation sont assi-ses, réelles et irréfutables ; où le présent est  nécessairement le fruit logique du passé, où le présent prépare le futur qui, de ce fait, n’est plus le fruit du hasard, ne peut surprendre un Peuple conduit, guidé, arbitré selon cette Loi !
   La « morale » sociale sera fondée sur la loi du nombre, de la majorité, de l’opinion publique et non sur les Lois divines ; des comportements déviants seront « légalisés » dans l’ignorance des conséquen-ces lointaines...



III – Le RETOUR à L’ORDRE
et la SCIENCE QUANTIQUE !

      « Un jour, la science prouvera les vérités de la Science Initiatique» nous disait le Maître…

      Il est un domaine particulièrement sensible pour les humains, où le choix de privi-légier la première place de l’un des principes, est lourd de conséquences : la véritable cause de la maladie ; soit :
-       C’est la matière, soit le microbe, le virus, etc.
-       C’est l’activité psychique de l’homme, qui finit par s’exprimer physiquement.
      Donc, soit le principe féminin est premier, soit le principe masculin est premier !?

      Le choix déterminé par l’idéologie laïque républicaine, depuis Pasteur, est sans discution le principe féminin comme origine des maladies ; en digne sectateur d’Irshou !    
      Riches, de nos jours, d’un siècle de pratique, il nous est donné de pouvoir en ob-server les conséquences, tant sur la « santé » humaine, qu’analogiquement, sur la « santé sociale » de notre démocratie politique, basée sur l’opinion des individus, synthèse de leurs désirs sans limites de besoins moyens matériels, pouvoir d’achat... où tout est monayable.
      Ce choix a conduit à l’irresponsabilité inividuelle et collective, à un gaspillage effréné des énergies, tant physiques, financières que psychiques, à susciter des rapports de forces dus aux disparités crées par électoralisme, etc. C’est la fuite en avant, la gestion au jour le jour… et la ruine de la nations dans la confusion générale.

III – 1- COMMENT la SCIENCE de POINTE rend-t-elle
        leur PLACE RESPECTIVE aux DEUX PRINCIPES ?

      Le professeur Régis Dutheil, agrégé de médecine et chercheur en physique quan-tique, à conduit des travaux qui s’ouvrent sur une application en médecine tant cura-tive que préventive.
        Il développe une vulgarisation de ses travaux dans son livre : « La Médecine Super lumineuse ». (*=Msl).

Écoutons, d’abords, le Maître :

Pensée du 2 décembre 2005 :
     "Beaucoup de gens se posent des questions concernant les guérisons « miraculeuses » qui se produisent parfois à Lourdes. Évidemment, la foi a dans ces guérisons une part très importante. Mais il est certain aussi que, dans cette atmosphère de ferveur, au milieu des chants et des prières de toute une foule, des personnes peuvent être intérieurement soulevées et transportées très haut, jusqu'au plan causal qui est le plan mental supérieur. Et c'est cela qui fait le miracle : la personne est intérieu-rement arrachée à son état de conscience ordinaire et projetée jusqu'à un sommet ; et  lorsqu'elle touche ce sommet, il se déclenche dans tout son être de puissants courants d'énergie pure qui descendent directement jusqu'au plan physique pour tout rétablir."

III – 1- 1- Deux Univers :
           Le professeur DUTHEIL situe ses recherches dans deux univers :
-       a) notre monde matériel, physique, visible ; constitué de photons, de particules, d’atomes, de molécules…
-       b) un univers « parallèle », invisible, d’où est issu le premier, un monde des possibles ; invisible (ne signifiant pas simplement invisible à l’œil mais indétectable), quel que soit l’instrument de mesure.

a)    Le monde matériel est régit par la Loi d’entropie ; c’est-à-dire, qu’avec l’écoulement du temps, tout tend vers un désordre croissant, vers la mort. Cette tendance n’est neutralisée, pour un temps, que par le flux de ce qu’on appelle la vie, sans laquelle la matière reste inanimée…
b)  Le monde subtil, primordial, où le temps n’existe plus, régi par la Loi de néguentropie ; c’est-à-dire, que tout ce qui y est tend toujours vers plus d’Ordre, tend vers la Perfection

        Il place ainsi, dans le monde matériel, le corps physique et, dans l’univers né-guentropique, la conscience, les clichés originels, les archétypes de la véritable réalité.
        Entre ces deux mondes, en interface, il y a ce qu’il nomme le corps électriquemis en évidence par BURR de l’université de Yale, comme un champ électrique et électromagnétique entourant les organismes vivants ; ce Champ vital étant une sorte d’image électrique exacte du corps physique et intriquée à lui, sur lequel certains dé-tails peuvent être détectés avant d’apparaître somatiquement. Ce corps électrique s’assimile naturellement au corps éthérique qui, avec les deux autres mondes qu’il réunit – monde physique et monde subtil -, donne une structure des organismes vi-vants en trois parties principales.
        En approfondissant ces trois parties, on observe qu’à chacune correspond une nature très spécifique de ses constituants ultimes :
-       1- au corps physique, les particules élémentaires qui formeront les ato-mes puis les molécules ;
-       2 - au corps éthérique, les photons ou « grains » de lumière ;
-       3 - à l’univers invisible, les tachyons, « réalités » virtuelles…
            
        Enfin, ces trois constituants ont une caractéristique propre essentielle : la vitesse de déplacement, de vibration :
-       1 - une vitesse inférieure à celle de la lumière pour les corps élémen-taires ;
-       2 - la vitesse de la lumière pour les photons ;
-       3 - une vitesse supérieure à celle de la lumière pour les tachyons.
*Msl : pg 51« Les tachyons sont associés à un espace–temps différent de l’espace–temps sous-lumineux qui est le notre. Dans l’espace-temps super lumineux, tachyonique, le temps et l’espace n’ont plus les mêmes qualités. Le temps propre, c’est-à-dire le temps vécu, devient spatial et ne s’écoule plus, ce qui correspond au concept de vitesse infinie. Pour un observateur tachyonique, il n’y a plus ni passé ni présent ni futur et tous les évènements existent de façon instantanée et pourtant durable pour lui. Il y a une pérennité totale d’un tel champ de « matière ».
      Ces trois types de constituants sont en fait  trois étapes de concrétisation ou, dans l’autre sens, de virtualisation : de la conscience à la matière ou, de la matière à la conscience… Les particules étant les répliques matérielles des tachyons avec l’étape intermédiaire des photons... On peut dire aussi, que ces trois constituants sont les paliers du passage de la nature corpusculaire - les particules élémentaires - à la nature ondulatoire – les tachyons - et réciproquement, dans l’autre sens…

      On peut, à présent, se poser la question : quel est l’événement qui permet la tran-sition entre ces deux mondes ?
-       du  monde matériel, manifesté, moléculaire, visible, à l’univers tachyoni-que, ondulatoire, invisible ? C’est « le saut quantique » :  l’accélération, le basculement, la projection de la matière dans le virtuel !
-       dans l’autre sens ? L’actualisation d’une virtualité se nomme « le collapse du psi » ; c’est l’effondrement de la fonction d’onde, les tachyons sont ralentis pour passer  en vitesse luminique et deviennent des photons, puis des particules  élémentaires, des atomes, etc.

      Dans l’organisme physique, l’interface où se produisent ces événements est le corps éthérique et plus précisément au niveau du cortex cérébral
      Nous savons que le corps physique est à l’image du corps éthérique, aussi, les pathologies se manifestent d’abord sur celui-ci, à la suite des perturbations induites dans le monde psychique. 
      Dans l’univers tachyonique, l’image originelle est au mieux de sa perfection ! L’ensemble soma/corps électrique, qui est la partie « matérialisée » de l’image pri-mordiale, serait une projection  de celle-ci, son hologramme !

72« L’holographie, du grec holos qui veut dire « tout » (d’où vient aussi « holisti-que »), est une technique mise au point en 1948 par l’Anglais GABOR, qui permet la restitution d’images en relief à partir d’un enregistrement sur support photographi-que plan... Avec le laser, l’objet photographique est projeté dans l’espace et apparaît en trois dimension : l’hologramme. »
      Selon la physique quantique, notre univers sous lumineux, visible est une projection holographique de l’univers fondamental, super lumineux ; comme notre corps physique, ainsi que le corps « éthérique », sont une projection holographique de notre réalité originelle, qui est dans l’univers fondamental.
      Cette formation de notre hologramme étant le produit des incessants collap-ses du psi au niveau de l’interface éthérique du cortex ! ((Ce n’est pas le cerveau - matière, principe féminin - qui « produit », qui « crée » cette image !!!))
      Précisons qu’un organisme vivant dans un univers sous la loi d’entropie ne peut qu’aller en se dégradant ; son maintient, son développement ne sont possibles que s’il est connecté à la Source de néguentropie d’où il reçoit informations et signification.
     (Il en est  sûrement de même pour les Sociétés humaines dont la structu-re et l’organisation ne sont pas conformes au Modèle universel, et donc coupé de la Source !)

III -1– 2- Qu’est la maladie, sa Génèse?
      La santé est maximum lorsque la connexion à la Source n’est pas pertur-bée ; alors, l’apport de néguentropie assure l’évolution, selon son programme, de l’or-ganisme vivant. Tout  défaut dans la production ou la maintenance de cet holo-gramme ou, ce qui revient au même, toutes altérations dans les multiples collapses du psi, que notre conscience fait à chaque instant pour maintenir cette forme hologra-phique que nous appelons notre corps, perturberont l’apport néguentropique :

LÀ, COMMENCE VÉRITABLEMENT LA GÉNÈSE DE LA MALADIE !

132 - « La maladie se caractérise essentiellement par une diminution de la quan-tité d’informations possédée par un système ou, formulé d’une manière équivalente : l’entropie mesurant le degrés de désordre d’un système s’accroît avec la maladie.
      La maladie apparaîtra, naturellement, d’abord dans le corps électrique, puisque c’est à son niveau que se produit le collapse du psi. C’est donc au niveau de la pro-jection de l’hologramme par cette conscience que les problèmes commencent à se poser et qu’il convient d’agir. »

      Pour ce chercheur : 174 « L’idéal serait de pouvoir intervenir au niveau de la source de la projection de l’hologramme, c’est-à-dire sur la conscience matière super lumineuse. Mais cette dernière, nous le savons, est associée à  un espace-temps différent, où le temps est spatial et ne s’écoule plus. Elle possède une pérennité dont rien de ce que nous connaissons dans notre univers ne peut donner une idée. Elle ne peut, en aucun cas, être altérée (elle constitue toujours un espace où la maladie et la douleur sont inconnues, phénomène que les témoins de NDE ont rapporté quand ils ont été réanimés).             
…...Si l’on trouvait expérimentalement des tachyons, on pourrait produire des sour-ces de tachyons, donc, rayonnement néguentropique par excellence. Un tel rayonnement, auquel serait soumis le sujet, pourrait rétablir un hologramme parfait en agissant à l’origine de son émission. Mais, au moment de ces travaux, c’était du domaine du rêve !
      Aussi, c’est vers une intervention dans le domaine de la physique non molé-culaire - qui est celui de la médecine actuelle -, qui a fait l’objet de recherches.


 III – 1 -3 - Pour autre chercheur, le Dr. CHOPRA :
Cq - 135 – « Il suffit pour guérir d’atteindre le lieu de la conscience pure, la fréquen-ce vibratoire qui n’est jamais atteinte par la maladie…en amenant la conscience or-dinaire à  l’état de félicité.  Mq- 260 - La félicité, c’est une vibration qui relie l’esprit à la matière, permettant à chaque élément de l’organisme d’être lié à un élément d’intelligence.
      Il cherche à établir un pont entre la mécanique quantique et  la médecine ayur-védique pour qui la maladie n’est pas une agression d’un agent extérieur qu’il con-vient de combattre, mais l’expression d’un conflit intérieur, une distorsion de l’intel-ligence, un défaut dans le réseau de vibrations dont nous sommes constitués.
      Des statistiques ont démontré que les personnes qui pratiquent quotidiennement la méditation vieillissent  moins vite que les individus qui ne la pratiquent pas : leur âge physiologique est inférieur à leur âge de l’état civil ! »  

      Il est intéressant de noter que ces deux pistes tentent, par des moyens différents, d’atteindre le plan de ce que nous pouvons appeler la super-conscience : aller du monde physique au monde super lumineux.
      Soit  aller, en consciencesur un autre plan, une autre dimension… c’est changer d’univers !

      Dans le monde des recherches génétiques, il se révelle que les gènes peuvent se modifier sans manipulations arbitraires (primeur au principe féminin) mais, en se pliant aux lois quantiques, avec la conscience (primeur au principe masculin)!

III – 1 -4 - Il est intéressant de situer ces travaux par rapport à l’Enseignement !
      Première remarque : partant du schéma ternaire de l’organisme vivant, en le développant selon celui des sept corps, on va introduire entre le corps éthérique et le corps causal ou corps de conscience tachyonique – le siège des archétypes –, les corps astral et mental. On devinera aisément le rôle essentiel qu’ils  peuvent jouer pour distordre, déformer la projection holographique issue du monde causal !   
      Tant qu’ils ne sont pas mis au service d’un Haut Idéal, leurs énergies seront res-treintes aux désirs, souvent contradictoires, de ces plans, soit de la personnalité (c’est aussi le processus de la formation de l’Opinion Publique !). Ce qui freinera, par des créations de clichés erronés, des désirs astraux, des actes destructeurs amenant à un ralentissement des vibrations qui perturbera considérablement le flux néguentropique, d’où diverses déformations de l’hologramme et, en conséquence, augmentation de l’entropie… et apparition des pathologies !
     
      Deuxième remarque : l’Enseignement nous donne déjà  les moyens  d’amener la conscience à  faire le saut quantique qui permet d’atteindre le plan de l’Ordre croissant, le plan causal ; soit :
-       Les paliers de la méditation ; la contemplation, l’identification et la fusion ;
-       Les chants du Maître Peter Deunov ; selon notre état du moment, sentir l’affinité du chant en résonance.
-       Les levers de Soleil ;
-       retrouver notre Moi supérieur dans le Soleil, notre archétype parfait ;
-       nous brancher directement à la Source de Vidélina, ((les fameux Tachy-ons, le pranas , Lumière primordiale ?!)).
-        

IV – PLACE ET VALEUR DES DEUX PRINCIPES.

      Place et Valeur, définissent deux réalités ; être mis à la première place ne signifie pas avoir plus de valeur qu’être mis à la seconde, et réciproquement !
      La Valeur de chaque principe est équivalente, mais leur position, leur place dans les processus est propre à chacun d’eux selon le plan d’application:
-       dans un processus d’involution, descendant, de conception, la génèse d’un projet, le principe masculin est premier ; c’est la conception d’une idée, d’une intuition, d’un enfant… le père agit ! Le temps de la méditation précède celui de l’action !
-       dans un processus d’évolution, ascendant, de réalisation, l’origine, la fondation concrète du projet, le principe féminin est premier, la mère fournit la matière et l’assemble, le réalise conformément au plan donné par le père… Le temps de l’action n’est plus celui de la méditation !

Voir la Conférence : « La véritable place des deux principes»

Pensée du 27 mars 2006
      « Rien n’est possible sans la foi. Mais pour retrouver la santé, croire ne suffit pas, il ne faut pas se contenter de croire et attendre que le miracle se produise. Il faut faire un travail intérieur par la pensée. Et le travail de la pensée ne consiste pas à répéter : « Je serai en bonne santé, je n’aurai plus mal à la tête… ou au foie. »
      Le véritable pouvoir de la pensée sur le corps physique ne s‘acquiert que si on parvient à s’élever au-delà des plans astral et mental, afin d’atteindre le plan causal. Au fur et à mesure que vous vous élevez intérieurement, vous découvrez que les élé-ments avec lesquels vous entrez en contact dans les régions supérieures sont de plus en plus puissants, qu’ils ont un champ d’application de plus en plus vaste. Et lorsque vous parvenez au plan causal, vous entrez en possession des vrais pouvoirs : ceux qui sont capables d’introduire l’ordre et l’harmonie dans toutes les autres régions en vous, et c’est ainsi que vous retrouvez la santé. »

VEHUEL - Génie 49 –
Tc - 220 « S'exalter  vers Dieu c'est retourner à la source primordiale pour  re-cevoir des informations sur le fil conducteur que nous avons perdu. Alors nous dialoguons avec notre Divinité, laquelle nous explique le sens de ce qui nous arrive, fruit des déformations que son Dessein a souffert pendant son parcours vers son implantation dans le monde matériel. Et nous comprenons alors le sens profond des expériences que nous avons vécues et nous pouvons changer de cap, prendre la bonne direction et redresser tout ce que nous avions tordu.
      La Con­naissance, lorsqu'elle survient de façon soudaine, comme un cri inté-rieur, nous cause une forte émotion et souvent des larmes. La chaleur intérieure, que la présence de la Divinité engendre en nous, chauffe notre Eau, élève le ton de nos désirs et nous induit à la glorification, à tresser une couronne de laurier à cette Sages-se divine qui dissout nos soucis, nos problèmes.
      VEHUEL nous dévoile le Dieu Créateur, et plus jamais nous ne douterons qu'Il est la cause première de notre Vie. »

       Pensée du 29 janvier 2005

      "La musique est un langage. Depuis l’origine, ce langage retentit à travers le cosmos, et c’est par lui que Dieu manifeste sa sagesse, son amour et sa beauté. Du point de vue initiatique, la musique suppose la connaissance de l’ordre du monde, des êtres et des choses, la science des rapports harmoniques dans l’univers entier entre le microcosme et le macrocosme. Elle repose sur des principes immuables qu’on ne peut transgresser sans se perdre.
     
La musique nous parle de notre héritage céleste, et en agissant sur nos corps subtils, elle nous permet de rétablir le contact avec notre véritable patrie.
"

Bibliographie :

     - Vidélina 43 – 26/27 : « Ceux qui font plus de 300.000 km à la seconde sont les disciples de la Fraternité Blanche ».                                                                                              Omraam Mikhaë Aïvanhov                                                             

    - « Le Corps quantique »,  . . . . . . . . . .. .  Citations signalées par : (Cq – page -)
par le Dr  Deepak CHOPRA, Edt InterEditions

   - « Le tarot cabalistique »,   . . . . . . . . . . . . . . . Citation signalée par : (Tc - page)
par KABALEB, Edt Bussière


V – RÉFÉRENCES à l’AUTORITÉ de l’ENSEIGNEMENT
du MAÎTRE OMRAAM  MIKHAEL  AÎVANHOV


V –1- Les PENSÉES  QUOTIDIENNES

1 - À la première place, il y a le monde intérieur :
Du 170501- La réalité, c’est ce que vous sentez. Si vous sentez la joie, la splendeur, la paix, la liberté, la force, est-ce tellement important si, en dehors de vous, cela existe vraiment ? Vous vous sentez dans l’abondance ? Alors qu’importe si matériellement vous devez supporter quelques privations, puisque vous ne vivez pas dans le côté extérieur, mais seulement dans vos sensations ?
     À la première place, il y a le monde intérieur. C’est simple, c’est évident. Mais les gens cherchent toujours leur raison de vivre dans le monde extérieur, sans se rendre compte que le monde extérieur, on ne peut pas le vivre. On peut seulement le voir, l’observer, le mesurer, le dessiner, etc.…Pour pouvoir le vivre, il faut au mois posséder intérieurement l’élément correspondant. Celui qui n’a aucun sens de l’esthétique, même devant les splendeurs de la nature il restera impassible et froid ; et s’il ne sent rien c’est comme s’il ne possédait rien. Donc nos efforts doivent tendre à l’enrichissement de notre monde intérieur

2 - Les idéologies politiques
Du 030701-Les humains croient avoir des opinions, des points de vue objectifs. Mais en réalité, le plus souvent, ces points de vue ont pour origine leurs besoins les plus inférieurs. Prenez par exemples les idéologies politiques. À Rome, pour contenter le peuple, il fallait lui promettre du pain et des jeux. Et encore aujourd’hui, sous une autre forme, il faut promettre au peuple du pain et des jeux. Prenez aussi les théories sur la sexualité : comme la plupart des hommes et des femmes ne savent pas comment considérer la force sexuelle et encore moins la contrôler, des spécialistes présentent des théories qui n’ont en réalité aucune valeur absolue ; elles ne concernent que les humains faibles et ignorants qui ne savent pas et ne veulent pas savoir que la force sexuelle, au lieu d’être gâchée dans les plaisirs, peut, si elle est maîtrisée contribuer à leur épanouissement spirituel. Et ainsi de suite pour tout le reste. C’est pourquoi il est si difficile d’instruire les humains : ils ne peuvent vraiment comprendre et accepter les vérités initiatiques qu’au tant qu’ils ont réussi à diminuer leurs besoins inférieurs ; sinon, ces besoins continuent à les maintenir dans leurs opinions erronées.

3 - Vous devez d’abord vous purifier :
Du 211001 – Vous ne devez jamais oublier que vos états intérieurs ne vous concernent pas uniquement vous-même, mais qu’ils influencent aussi les autres autour de vous. Si vous êtes impur (et par « impur », je veux dire injuste, malhonnête, jaloux, égoïste, cupide), par vos émanations vous salissez les autres. Vous voulez faire du bien, c’est entendu, mais sachez que vous ne pouvez faire aucun bien si vous ne vous êtes pas d’abord débarrassé de vos impuretés. Voilà, c’est tout, c’est absolu.
Si vous voulez vraiment aider l’humanité, vous devez d’abord vous purifier. Même si vous ne dites rien à personne, même si vous ne rencontrez personne, par votre  pureté, c’est-à-dire votre désintéressement, votre abnégation, vous contribuez à la purification de l’atmosphère de toute la terre. Oui, grâce à votre présence seulement. Mais si vous êtes impur, vous contribuez à empoisonner le monde entier. Alors, inutile d’aller raconter partout que vous voulez faire du bien !

4 - La compréhension :
Du 281100- Il existe plusieurs sortes de visions que l’on nomme différemment selon les plans auxquels elles s’appliquent. Au niveau le plus élevé se manifeste la vision de l’esprit que l’on appelle la compréhension. Cette vision n’a évidemment aucun support physique, matériel, et l’homme n’a souvent même pas conscience qu’il voit. Mais en réalité, il voit. Quand soudain il reçoit, sous la forme d’une idée, la révélation d’une réalité supérieure, c’est qu’il est parvenu à projeter très loin, très haut, des rayons de lui-même qui lui font voir dans l’univers des lois, des correspondances, une structure. C’est la lumière de l’esprit qui éclaire la réalité et permet d’en saisir les aspects les plus élevés.

5 – L’homme a à sa disposition des instruments bien supérieurs à l’intellect.
Du 030699 – L’homme doit devenir de plus en plus conscient qu’il a à sa disposition des instruments bien supérieurs à l’intellect. L’intellect est seulement un bon instrument de travail pour l’étude et l’exploration de la matière, mais même dans la vie quotidienne, l’intellect ne peut pas tellement nous guider ; car non seulement il a une vue partielle de la réalité, mais surtout, au fond de tout ce qu’il entreprend il y a un mobile caché, un intérêt, un calcul égoïste qui finira toujours par produire des troubles. À peine a-t-il fait un sacrifice, un geste généreux, que l’homme qui se laisse conduire par son intellect, le regrette, il trouve qu’il a été trop bête d’écouter les conseils de son cœur ou de son âme.
   Et comment la fraternité se réalisera entre tous les hommes, comment la terre formera plus qu’une seule famille, comment le monde entier vivra dans la paix et l’harmonie, ça non plus l’intellect n’est pas capable de le concevoir. Il ne peut pas s’élever assez haut pour découvrir les vrais remèdes, les vraies solutions. Ce qu’il imagine, ce qu’il propose à partir de sa vision incomplète et égocentrique des choses, est toujours défectueux et ne peut que provoquer.

6 - L’intuition est la véritable intelligence :
Du 031201 – Parce  qu’elle a une vue synthétique de la réalité, l’intuition est la véritable intelligence. Elle n’a pas besoin de faire des recherches et des calculs, sa compréhension est instantanée : elle pénètre tout d’un seul regard, le monde objectif et le monde subjectif, l’extérieur et l’intérieur, et elle vous communique ses découvertes.
   L’intuition est à la fois une sensation et une compréhension : on sent les choses en même temps qu’on les comprend. C’est une intelligence supérieure qui contient pour premier élément indispensable la vie. Et là où tout le monde en est encore à hésiter et à douter, celui qui possède cette intelligence, qui croit en elle, comprend immédiatement. Et celui qui grâce à l’intuition, commence à découvrir la réalité telle qu’elle est, avec ses deux aspects objectif et subjectif, extérieur et intérieur, découvre avec étonnement combien tout est simple.
7 - Changez d’attitude et les conditions changeront :
Du 190999 – Vous avez tendance à toujours  accuser les conditions, vous vous sentez victimes de la destinée, de la société, de l’hérédité… Non, c’est vous qui par votre attitude intérieure avez, consciemment ou inconsciemment, choisit vos conditions actuelles d’existence. Changez d’attitude et les conditions changeront. Parce que les conditions changent sans cesse d ‘après nous, d’après notre compréhension, notre comportement. Tant que vous penser que ce sont les conditions matérielles qui sont déterminantes, vous ne faites rien pour vous renforcer et vous améliorer, et c’est ainsi que vous aggravez vos difficultés. Mais si vous mettez à la première place l’esprit, la lumière, la force, les conditions finiront par se conformer à ces principes divins. Car ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et avec le temps, ce qui est en haut finit par se réaliser en bas, dans la matière.

8 - Éveillez vos centres spirituels :
Du 191201 Le Livre de la Nature est ouvert chaque jour devant vous et vous pouvez apprendre dans ce livre les merveilles de la sagesse éternelle que le Créateur a inscrites sur chaque pierre, sur chaque fleur, sur chaque étoile. Pourquoi ne les comprenez-vous pas ? Pourquoi vos yeux ne vous servent-ils pas à voir, ni vos oreilles à entendre ? Parce que vous êtes occupé à des activités inutiles et même nocives qui vous en empêchent. Vous direz : « Mais ces activités nous plaisent ! » Eh oui, malheureusement, elles vous plaisent ; mais tout ce qui vous plaît n’est pas nécessairement bénéfique pour votre évolution. Quand vous déciderez de faire le sacrifice de certains plaisirs malsains, vous dégagerez des forces formidables: vos yeux et vos oreilles s’ouvriront et le Livre de la Nature se révèlera à vous.
   Devant certains problèmes de la vie, vous dites : « Je ne peux pas comprendre ! Pourquoi ? D’autres que moi comprennent ! » Répondez vous même : « C’est parce que je cherche encore les plaisirs inférieurs et ces plaisirs m’enlèvent mes forces. Voilà pourquoi il ne m’en reste plus pour mes oreilles et mes yeux intérieurs. » Il n’y a pas d’autres explications à votre incapacité de comprendre. Il faut que vous libériez des forces afin qu’elles aillent éveiller vos centres spirituels en haut

9 - Si vous aimez la nature, elle parlera en vous :
Du 211201 La nature est vivante et vous devez la considérer avec respect. Vous direz : « Je ne vois pas en quoi mon respect peut changer quelque chose pour elle. » Admettons que cela ne change rien pour elle, alors faites-le au moins pour vous. Si vous êtes attentif envers les pierres, les plantes, les animaux, les humains, et même envers les objets qui vous entourent, vote conscience se développe, s’élargit et vous êtes enrichi de toute cette vie qui respire et vibre autour de vous. Tant que vous n’aurez pas compris cela, ne vous étonnez pas de continuer à vous sentir inquiet, désorienté, dans le vide. Pour sortir de cette situation, pensez que vous êtes lié aux forces et aux entités lumineuses de la nature et que vous pouvez communier avec elles. Cette communion ininterrompue chaque jour avec une multitude de créatures, c’est cela la vraie vie.
« Mais, direz-vous, comment y arriver ? » Par l’amour. Il n’y a pas d’autre moyen que l’amour. Si vous aimez la nature, elle parlera en vous, parce que vous aussi vous êtes une partie de la nature.
10 - Interpréter correctement le mythe du péché originel :
Du 141000 - On ne peut interpréter correctement le mythe du péché originel qu’en comprenant d’abord qu’Adam et Ève ne représentent pas un homme et une femme, mais les deux principes masculin et féminin : l’esprit et la matière. Or, Ève a fait tant d’efforts pour attirer Adam à elle qu’il a oublié l’autre centre, Dieu, et ainsi détournés de Dieu ils sont tombés tous les deux.
     Et voici l’interprétation : tout les malheurs des humains viennent de leur refus de la hiérarchie dans l’univers : Dieu, l’esprit, la matière. Lorsque l’esprit se détourne de Dieu pour se tourner vers la matière, l’ordre de succession des principes n’est pas respecté, et c’est la chute. Le récit du péché originel n’est donc pas l’histoire d’une femme appelée Ève, qui aurait séduit par ses manigances un pauvre bougre nommé Adam (et tant pis pour ceux que cette histoire arrange, parce qu’elle leur permet de prétendre que la femme est la cause de tous les maux !), il présente d’une manière symbolique les troubles que provoque dans chaque être humain une inversion dans l’ordre des deux principes.

11 - C’est la lumière qui pense, qui parle, qui chante, qui crée :
Du 020601- En tombant sur les objets et les êtres, chaque rayon du soleil leur apporte quelque chose. Même les pierres ont besoin de cette vie qu’elles reçoivent du soleil, car les pierres, bien qu’inanimées, sont vivantes. Cette vie est encore plus perceptible chez les plantes qui croissent et se multiplient grâce à la lumière solaire. Chez les animaux, les rayons du soleil se transforment non seulement en vitalité, mais aussi en sensibilité. Oui, c’est grâce aux rayons du soleil que les animaux commencent à sentir la souffrance et le bien être, mais aussi quelque chose qui ressemble au chagrin et à la joie. Enfin, chez les humains, les rayons du soleil se transforment en intelligence, car c’est à partir du règne humain que la lumière trouve un accueil suffisant pour se manifester comme pensée. L’esprit qui parle par la bouche d’un homme est une émanation de la lumière solaire. C’est la lumière qui pense, qui parle, qui chante, qui crée. Au fur et à mesure que la lumière se fraie un chemin dans l’âme humaine, elle se reflète sous forme d’intelligence, d’amour, de beauté, de noblesse, de force.

12 – La capacité de se concentrer sur le monde divin :

Du 011001- Le salut de l’homme est dans sa capacité de se concentrer sur le monde divin. Cette capacité lui permettra de poursuivre tranquillement  son chemin durant l’éternité. Supposez qu’en quittant ce monde, vous soyez entouré d’une atmosphère obscure au travers de laquelle vous ne pouvez rien voir, ni vos amis, ni les entités célestes. Vous êtes seul. Qui viendra vous sauver ? Votre capacité de vous concentrer sur le monde divin. Cette capacité subsiste après la mort, car elle ne provient pas du cerveau, elle se manifeste seulement à travers lui ; c’est l’esprit qui la possède.
     Lorsque l’on quitte le corps physique, cette capacité se prolonge dans l’esprit., et il le fait à travers la matière du corps physique. Mais quand il se libère C’est l’esprit qui pense, qui sent, qui agit de celui-ci, ne pensez pas que l’homme ne puisse plus penser, sentir ni agir. Au contraire, c’est à ce moment-là que sa pensée devient vraiment puissante, et s’il s’est habitué sur la terre à se concentrer sur le monde divin, il lui suffira de penser au Seigneur ou à la lumière pour dissiper les troubles et les ténèbres.

12 - Ne pas se conformer aux Lois divines, c’est ça l’anarchie :
 Du 071101-Ne pas se conformer aux Lois divines, voilà véritablement ce qu’est l’anarchie. Le disciple de la lumière ne craint rien autant que cette anarchie, en sachant que s’il l’accepte, c’est dans son for intérieur d’abord que s’installeront le désordre, le déséquilibre, la désagrégation, etc. Même notre santé repose sur la connaissance d’un Ordre universel. Au moment où nous commençons à installer cet ordre en nous, tout s’apaise, s’équilibre, s’harmonise, s’embellit, s’éclaircit, se renforce, ressuscite : nous vibrons à l’unisson avec le cosmos tout entier, avec toutes les régions célestes, et nous devenons comme une source, comme un soleil… quelque chose qui rayonne, qui coule, qui jaillit. Voilà l’idéal auquel chacun doit tendre, au lieu de rester la porte grande ouverte à tous les courants nocifs qui flottent partout sous forme de philosophies ou d‘idéologies hostiles à l’Ordre divin. Que ce soit un individu, une famille, uns société, un pays, en s’ouvrant à ces courants on se détruit : la loi est implacable. Alors, sachez-le et faites tout ce que vous pouvez pour vous mettre en harmonie avec l’Ordre divin.

13 - Science et Religion ; deux approches complémentaires, non antagonistes :
Du 23/07/2003 : Les scientifiques doivent se contenter d'étudier, d'observer et de donner les résultats de leurs observations, c'est tout. Sur la vie psychique de l'homme, sa vie morale, spirituelle, ils n'ont pas à se prononcer, il y a une frontière qu'ils ne peuvent pas franchir ; avec les moyens dont ils disposent il ne leur est pas permis de remplacer la religion par la science, et encore moins de la détruire. Ce qu'ils peuvent détruire, ce sont les fausses religions, ou plutôt, les fausses croyances, et c'est une bonne chose. La vraie religion n'a pas besoin de s'encombrer d'erreurs et de superstitions, et la vraie science ne peut pas nuire à la vraie religion : Dieu ne sera pas offensé si vous ne croyez pas qu'Il a créé le monde en six jours, et Il sera d'autant moins offensé qu'en réalité Il ne s'arrête pas de créer...

14 – Place et rôle des deux principes :
Du 1er/3/2011- "L’esprit et la matière… Voilà une question sans fin, car, sous diverses formes, l’esprit et la matière, c’est le masculin et le féminin, le positif et le négatif, l’émissif et le réceptif, le ciel et la terre. Rien n’est plus important que ces deux principes masculin et féminin. Mais il faut comprendre quels sont leur place et leur rôle respectifs pour ne pas privilégier l’un au détriment de l’autre. Les humains ont toujours tendance à aller dans les extrêmes : ou ils se concentrent seulement sur l’esprit et négligent la matière ; ou ils se concentrent sur la matière et abandonnent l’esprit. C’est ce qui se produit à l’heure actuelle où tellement de gens sont pris par la matière sans jamais chercher à y introduire l’esprit. Alors, la matière reste inerte, inanimée, et elle finit par les engloutir.
      Si les hommes et les femmes peuvent être tellement vivants, expressifs, c’est à cause de l’esprit qui vit en eux et qui anime leur matière. C’est si vrai que, lorsqu’à sa mort l’esprit quitte un être humain, il ne reste plus qu’à l’enterrer. C’est toujours l’esprit qui agit à travers la matière, c’est lui qui lui donne la vie. Mais sans la matière l’esprit ne peut pas se manifester."

 

III – 2-Les CONFÉRENCES.

Conférence du 24 février 1945, No 286 : « L’Origine des Schismes »

Question posée : « Pourquoi les Initiés ne s’incarnent-t-il pas dans des hommes d’État ? Pourquoi se tiennent-il à l’écart des gouvernements. » ?


      « Dans le passé, les Initiés étaient en liaison constante avec le peuple. Ensemble les Initiés constituaient une union qui représentait et exerçait l’autorité. Ils tenaient dans leurs mains la science et la religion. Ces efforts de recherche et d’étude étaient effectués pour connaître la réalité, et la religion résultait de ce savoir, elle en était la synthèse. Les prêtres d’aujourd’hui ne savent plus le pourquoi et le sens des gestes et des rites qu’ils accomplissent.
      Autrefois les Initiés étaient la lumière qui instruisait et dirigeait. Ils apprenaient tout de Dieu Lui-même, en se dédoublant et en contrôlant à fond les réalités psychiques et spirituelles. Ne pouvait être intégré dans leur assemblée qu’un être ayant été éprouvé, ayant fait de nombreuses expériences. Les prêtres étaient des êtres qualifiés pour leur tâche.
      Il y avait donc un premier conseil, détenant l’autorité, avec un chef, un Pontife.
      Puis il y avait un second conseil représentant le pouvoir.
      Le premier, c’était la tête ; le second, les mains étant liées à la justice. Rien ne se faisait sans l’approbation de l’autorité du premier conseil. On l’appelait « Roi de Justice ». Melkitsédek fut un de ces rois. (Le nom même de Melkitsédek signifie roi de justice).   
      Ensuite il y avait un troisième conseil, économique et administratif, dont les membres étaient choisis parmi les anciens, les pères de la communauté.
      Cette organisation dura des milliers d’années. Tous vivaient dans le bonheur, la paix et l’abondance. Pourquoi ? Parce que les dirigeants avaient une connaissance profonde des hommes et des choses de la vie. Les Initiés mettaient en premier le Principe masculin, le Père, Dieu. En second le Principe féminin, la Mère.
-       En premier, pour diriger, l’intelligence, la raison, la lumière, la tête, donc le côté masculin.
-       En deuxième place le cœur et le sentiment, le côté émotif, le côté féminin.
      L’immense savoir des Initiés est caché dans les quatre lettres du mot sacré, déchiffré dans le monde divin : Iod-Hé-Vau-Hé. Le système de gouvernement qu’ils avaient institué se nomme la Synarchie. (Lire la Conférence N°312 : « L’autel de Dieu »). Grâce à lui, tout alla très bien, très longtemps. Les Initiés occupaient la tête, ils étaient l’autorité. Mais il se produisit en Inde, il y a 4000 ans un événement notoire. Un roi avait deux fils, à sa mort, l’ainé fut son héritier. Le cadet, Irshou, un être ambitieux, orgueilleux, jaloux, chercha à susciter une révolte en créant le désordre dans le système philosophique en vigueur. Il préconisait la suprématie du Principe féminin et il réussit à gagner de nombreux partisans. Les Initiés tentèrent de faire comprendre à Irshou le danger que faisait courir son erreur : il allait déclencher des forces qu’il serait impossible de juguler, et ce serait bientôt l’anarchie. Irshou s’entêta, et, il fut chassé. Une guerre terrible et l’anarchie s’en suivirent : ce fut le Schisme.
      Les partisans d’Irshou remplacèrent la philosophie solaire, la religion de Dieu du jour, par la religion lunaire de la nuit, et la magie noire s’instaura. Les Initiés furent pourchassées, les temples brûlés. L’anarchie, la révolte, la cruauté gagnèrent la Perse, l’Assyrie, l’Egypte et toute l’Inde. Il y eut d’effroyables massacres, des bibliothèques entières de livres occultes furent détruites et perdues, une science incomparable. Les Initiés se cachèrent dans les montagnes où ils essayèrent de se réunir quelques fois en secret pour maintenir vivante l’étincelle divine.
      Mais avant ce temps, d’où provenait cette sagesse des Initiés et les lois de la synarchie ?
      Parlons un peu des druides et de leur religion. Leur origine est très lointaine. Il y eut chez eux un temps où les femmes régnaient ; elles avaient établi leur pouvoir sur une loi sanguinaire, qui consistait à immoler des victimes aux ancêtres. Les fidèles se laissaient égorger, au mépris de la mort, par les druidesses et la pierre et la terre étaient imprégnées de sang.
       Or il advint qu’un homme, jeune, valeureux et doué d’une intelligence lumineuse, s’indigna de ces pratiques. Il voyageait dans le monde entier ; il fut instruit par un esprit supérieur qui devint son guide et fit de lui un être apte à s’opposer à cette tuerie rituelle. Ce jeune homme, c’était RAM ou RAMA. Grace à ses connaissances et à sa science astrologique, il put se mesurer aux druidesses. C’est lui qui réussit à enrayer une grave épidémie, pace qu’il savait les propriétés des plantes, celles du gui en particulier ; beaucoup furent guéris par lui. Mais il quitta l’ordre des druides, où on avait résolu de le faire disparaître. Sa sagesse rallia à ses projets des millions d’hommes et de femmes et il entreprit de quitter le Pays. De l’Ouest de l’Europe et de la France, ils s’en furent jusqu’en Inde où RAM instaura un Ordre et une Organisation basée sur une initiation et sur les trois Conseils, ce qui devint la Synarchie. Son exemple, sa sagesse et sa noblesse lui acquirent la suprématie ; son gouvernement était le meilleur, ce fut pour un temps l’Age d’Or. Puis intervint le schisme d’Irshou, qui y mit fin.
       Cette science ancienne de la Synarchie, certains cherchèrent à la restaurer : Zoroastre en Perse, Krishna en Inde, Moïse en Egypte, Fo-Hi en Chine et d’autres. Rome, quant à elle, était depuis le règne de Ninus en Assyrie, le pays le moins organisé, le plus fermé et même le plus opposé à la science des Initiés. À Rome régnait l’anarchie, qu’elle fut couronnée ou républicaine. L’anarchie implique la soumission de l’autorité au pouvoir ; le pouvoir prend le commandement et la religion sert justement à prendre le pouvoir. Aujourd’hui on voit que la religion n’est pas indépendante de l’instruction et du pouvoir, elle n’est pas libre. Or c’est dans l’indépendance de la religion que se trouve la bénédiction, pour n’importe qu’elle race. Les choses ne peuvent bien marcher tant que l’autorité est soumise à une politique confiée à des ignorants. Toutes les nations occidentales sont anarchiques ; il ne subsiste encore un peu de l’ordre ancien qu’au Japon, en Chine et au Tibet. (Notez que cette Conférence date de 1945). Dans n’importe lequel de ces gouvernements, les gens sincères et sages ne pourront réaliser quoi que ce soit, parce que les bases même sont erronées. La tête et le pouvoir sont tenus par des chefs ambitieux qui font ce qu’ils veulent en s’appuyant sur la force armée.
       Ni la démocratie, ni l’aristocratie ne détiennent la vérité. Le peuple ne doit pas décider et gouverner, il n’est pas sage ni clairvoyant, il est encore un bébé, il ne s’intéresse qu’à ses difficultés, à ses besoins. Quant à l’aristocratie, elle s’isole dans son prestige, son orgueil et ignore les besoins du peuple ; donc elle est inapte  à gouverner, elle aussi. Il y a une méconnaissance et une incompatibilité qui entraîneront toujours à des luttes et à des guerres ; Il manque, au-dessus du peuple et des partis, une autorité qui les guide, à laquelle ils sont soumis : les Initiés.
        Dans l’organisme, dans l’organisation actuelle du monde, il y a les poumons et l’estomac ; il manque la tête. Les Initiés se sont retirés, non par indifférence, mais parce que le monde a voulu se débarrasser d’eux. Ils avaient toutes les possibilités de restaurer la paix, mais, la base était faussée, ils n’intervinrent pas, ils laissèrent le peuple faire ses expériences. Le monde entier doit passer par la maladie, les guerres, les fléaux. Il faudra qu’un jour les Initiés reviennent afin de redresser l’ordre ; l’axe de la Terre est dévié. Les Initiés ne peuvent agir encore pour le monde entier, ils ne s’approchent que de ceux qui sont aptes à comprendre leur philosophie et leur sagesse.
        La flamme brûle toujours dans le sanctuaire, mais les Initiés attendent le moment où tout le monde comprendra que les chefs actuels, les philosophes, ni les prêtres ne peuvent rétablir l’ordre. Quand cela sera compris, évident, le peuple réclamera les Sages et ils viendront. Même la science travaille présentement à la destruction de l’humanité. Dans le passé on connaissait l’électricité, et même les avions, mais on tenait secrètes ces connaissances, de peur que certains en fassent un usage destructeur
       Ni l’Église, ni la science ne sauveront l’humanité. Le monde entier criera vers Dieu et les Initiés reviendront parmi les hommes pour rétablir l’ordre ancien de la Synarchie, où Dieu sera le premier. Une famille où les bébés font la loi est perdue, parce que les parents, au lieu de diriger, sont asservis ; cet asservissement n’est pas naturel. Dans le passé,  la foule s’adaptait à tout ce qui était lumineux, à ce qui venait des Sages ; les Initiés ne s’adaptaient pas à la foule. En ce moment, c’est l’anarchie, tout est la tête en bas.
       Dans l’art aussi, c’est l’enfant qui commande, avec ses goûts pervers, grossiers, sanguinaires. S’il n’y a pas de crimes, pas d’adultères dans le film, le public n’est pas satisfait, et on doit le contenter, pour que l’industrie cinématographique fasse des affaires. Ni les artistes, ni les écrivains, ni les philosophes, ni les peintres ne se rendent compte qu’il y a quelque chose de faussé. Ils ne reprendront pas le vrai chemin tant que ne sera pas rétablie une autorité, tant qu’il ne sera pas admis que le divin domine l’humain, tant qu’il n’y aura pas une tête. En attendant, les enfants brisent et saccagent, les parents regardent. Au lieu de n’offrir que ce qui plaît au goût de n’importe qui, il faudrait imposer ce qui élève, éclaire et grandit les êtres.
      On écrit des livres et des livres pour justifier et nourrir l’esprit d’anarchie. Mais, dans l’homme, où se trouve ce côté anarchique ? Là où domine le sentiment, les émotions avec les colères et les passions, les sympathies et les antipathies, quand la sagesse passe au second plan ; ce devrait être le contraire. Quelqu’un qui met toujours en avant son coté émotionnel, sentimental, fuyez-le, évitez de lier amitié avec lui, vous vous brûleriez. La sagesse et la raison doivent précéder et dominer le côté affectif.
       L’inversion de Principes engendre le césarisme et elle est à l’origine des guerres, des famines, des fléaux de toutes sortes.
.      Les chefs actuels sont le reflet du monde qu’ils représentent. Ils sont des êtres collectifs placés là par le monde invisible, en conformité avec l’esprit collectif du peuple qui les a suscité et choisis comme incarnant le mieux ses aspirations. Les Initiés ne peuvent exercer sur ces chefs aucune influence, parce qu’il y a derrière eux des liaisons diaboliques ; ils sont poussés par derrière par d’autres entités qui les forcent à agir. Ils ne sont pas libres ; ils n’entendent pas la voix des Initiés, ils ne les écoutent pas.
      En Egypte cependant, les Initiés ont continué longtemps à diriger et instruire les pharaons. Mais dés lors que le Pays fut menacé par les peuples étrangers, ils durent donner aux souverains plus de pouvoir, et ceux-ci devinrent orgueilleux, ambitieux et l’esprit d’anarchie s’introduisit chez eux. Les Pontifes ne purent arrêter ou endiguer ce courant.
      Les Initiés aussi sont limités dans un certain sens, ils n’ont pas le droit de tout changer. Le monde est libre, et dans cette volonté libre se cache justement le mal. Il n’est pas juste d’attendre tout des Initiés. Les Initiés envoient leurs pensées, leurs forces et leur rayonnement à tous ceux qui veulent et peuvent les recevoir, et qui seront sauvés. Quant aux autres, même les Initiés n’ont pas le droit de les contraindre, de les forcer.
      Tant que les Initié ne seront pas à la tête, rien ne s’arrangera, les peuples ne trouveront pas la paix. Le peuple est aveugle, passionné, il déclenchera la guerre. Tant que le côté émotionnel prédominera, le désordre règnera.
      Moïse était un Initié ; en Égypte, il voulu donner ce qu’il savait à des tribus qu’il réunit et qu’il fit sortir d’Égypte. Puis il les maintint dans le désert durant quarante années pour les éduquer, les former, les purifier, les instruire, les éclairer, pour modifier leurs conceptions et leur mentalité. Il a constitué un noyau capable de garder et maintenir les lois de la Synarchie qu’il établissait. Il institua un Conseil de septante anciens qu’il avait initié à sa doctrine secrète. Les vues de Moïse étaient grandioses, et après lui Jésus vint, plus tard, pour leur donner une plus grande plénitude et pour les réaliser.
      Il y a un monde où cette sagesse est gardée vivante, c’est  l’AGARTHA. St Yves d’Alveydre parle de cette pyramide de lumière qui en Agartha, symbolise la Synarchie et les Mystères. Il raconte qu’un jour cette pyramide s’est fendue. Au premier Pontife, étonné, il fut révélé qu’une époque venait où les grands Mystères seraient dévoilés et que les Initiés ne devraient plus être aussi hermétiques et inaccessibles. Autrefois les sages se promenaient dans les temples et ils instruisaient le peuple ; maintenant, ils se cachent dans les montagnes de l’Inde. S’ils ont laissé éclater les guerres, c’était avec l’espoir que l’humanité, lasse de l’anarchie générale, réclamerait de grandes réformes et ferait appel aux Initiés.
      Que de morts ! Que de morts ! Mais ce sont les mouches et les moustiques qui sont écrasés. Qu’elle leçon terrible et magnifique ! Le monde invisible ne considère que ceux qui sont les enfants de Dieu ; il les reconnaît à une pensée lumineuse qui leur donne une valeur et qui révèle Dieu en eux.
      Voyez toutes les églises détruites au cours de cette guerre ; cela n’est-il pas la preuve qu’elles ne sont rien ? Une église sanctifiée ne s’effondre pas. Si une église ne porte pas la marque de la pensée divine, elle n’existe pas aux yeux de Dieu. Les gens croient qu’il leur suffit, pour être sauvé, de porter une croix ; je vous le dis, il vaut mieux être réellement religieux que de porter une croix. Je suis moi-même une croix, pourquoi en porter une autre ? Comprenez-moi bien, je ne suis pas contre le port de la croix, qui résume les plus grands symboles de toutes les sciences : physique, androgénique (qui concerne la reproduction de l’homme), cosmogonique (la formation de l’univers), théogonique (la conception des dieux formant le système religieux d’un peuple et sa philosophie). Elle contient et exprime le Nom de Dieu : Iod- Hé- Vau- Hé, les quatre constellations et les quatre Animaux saints de la vision d’Ezéchiel et de saint Jean, les Hayoth a Kadosh de la Kabbale. Dans, toutes les langues, ou presque, le Nom de Dieu comprend quatre lettres. Quand il y en a davantage, les lettres en surplus désignent les attributs de Dieu. Dans la science cabalistique se trouvent tous les noms qui désignent Dieu sous les divers aspects que peuvent appréhender les esprits humains.
      La croix est une chose sublime ; il ne faut la porter si l’on n’est pas parfaitement pur, car elle est puissante, elle agit et peut vous torturer si vous n’êtes pas digne de la porter.
      Les Initiés ont espoir qu’après la guerre actuelle les nations prendront l’initiative de réunir les hommes les plus sages, les plus savants pour réorganiser les choses du monde afin de briser ce cercle vicieux des guerres. Il faudrait, pour cela, que les représentants des autorités et des gouvernements fassent une demande dans ce sens auprès des Initiés. C’est la seule manière de sortir du chaos. La masse pauvre est toujours exploitée par les égoïstes et par les esprits anarchistes. L’esprit qui règne actuellement est celui de la cruauté, de l’impiété, du cynisme, ce n’est pas l’esprit du Bélier, que RAM instaura en l’opposant à celui du Taureau, du dieu Thor que l’on adorait alors. Pour se moquer de Ram le doux, le paisible, on l’appelait «  lam », l’agneau. Le nom des lamas du Tibet vient de ce mot, Lam, agneau. Les partisans de Thor voulaient l’anarchie ; les partisans du Bélier aspiraient à la Synarchie. Dans le zodiaque le signe du Bélier succède à celui du Taureau.
      Ce fut l’époque où les Initiés luttèrent partout pour sauver le monde de l’emprise du Taureau. Krishna, en Inde, instaura le culte du verbe solaire ; il peut être considéré comme le prédécesseur du Christ. L’amour et le sacrifice sont inscrits dans la loi de Ram, tandis que la débauche fait partie de la loi de Thor. En Grèce, Orphée fut le messager qui tenta de sauver le Pays de l’emprise de la loi du Taureau et il mit en œuvre tous ses talents et toute sa science dans ce but, mais il échoua, déchiré par les magiciennes noires du dieu Thor.      
      Oui, les Initiés ont lutté contre l’anarchie. Les calamités du monde furent déclenchées par cet homme, Irshou, qui voulut changer la hiérarchie, substituer à l’autorité des sages le pouvoir des forces noires. Les Initiés travaillaient avec les forces blanches, seulement pour le bien.

      RAM : son nom se retrouve dans le mot pyramide, dans le nom de Brama, le Père, dans celui d’Abram (Abraham), ce grand Initié de l’Ordre du Bélier. Les Abramides étaient une classe de prêtres de Chaldée. La science cabalistique fut enseignée en Egypte par leurs représentants.

      Et Rome ? Rome, cette ville de perdition, était un ramassis d’hommes cruels, de brigands, de malfaiteurs. C’est la ville de la louve, symbole de l’anarchie. Inversez les lettres de Rama, vous obtenez Mara, le nom du pire séducteur du plan astral.

       Vous voudriez que je situe ces faits dans l’Histoire…
       Depuis des millions d’années il y a des hommes sur la Terre ; pourquoi parler de ce temps ? En quoi cela vous aiderait-il ? En temps opportun, nos pères spirituels nous feront les révélations utiles ; car tout est gardé dans les archives. Qui peut dire tout ce qui est enfoui sous les sables d’Afrique, en tant que livres, manuscrits, appareils, etc.…? L’Afrique est plus ancienne que l’Asie ; la race noire était plus forte que la race jaune, bien qu’elle ait été vaincue. Et avant la race noire, la rouge était encore plus puissante. L’Histoire de tout le passé est précieusement conservée en Agartha, et un jour tout viendra au jour. Il s’y  trouve toutes les découvertes faites autrefois et à travers les âges, s’y trouvent aussi des exemplaires prototypes de toutes les races éteintes, présentes et futures.
      La Terre est creusée sous des centaines et des milliers de kilomètres. Ce monde souterrain abrite des trésors extraordinaires, une bibliothèque contenant tout ce qui a existé, tout ce qui est, et tout ce qui sera. On peut voir l’individu à tous les stades de son évolution. Chacun pourrait s’y retrouver dans ses anciennes incarnations, et prendre conscience, par comparaison, de son degré d’évolution. Il y a une cellule où l’on peut se livrer à cette étude ; mais la porte ne se rouvre que si l’on connaît le mot de passe, autrement, on reste enfermé…
      Tous ces trésors conservés dans ces lieux seront remontés un jour pour servir de nouveau au bien de l’humanité. La montagne est le meilleur des trésoriers ; seul les Initiés ont accès à ces richesses inimaginables, ils y apprennent tout ce dont ils ont besoin. Je vous dit la stricte vérité.
      La science n’a jamais pu répondre à certaines questions : comment la grande Pyramide a-elle été construite ? Pourquoi a-elle résisté à tout durant des millénaires ? Les blocs de pierre de l’édifice ne sont pas soudés, cimentés, et pourtant rien n’a pu la démolir, pas même les tremblements de terre. Toutes les grandes initiations se sont faites dans les pyramides (lire : « l’Égypte secrète de Brunton »).
      Revenons à la question : « Comment vivre utilement et comment aider les autres ? » Je crains que personne n’ait encore réellement compris dans quel esprit nous travaillons et tenons nos réunions, ici, à Izgrèv. Ce que je m’efforce de vous inculquer, c’est l’amour et le respect des grands Maîtres, qui mène à la compréhension de la Synarchie, seule capable de modifier la destinée des peuples. Il faut revenir au respect des grands Maîtres, réapprendre à s’incliner devant leur sagesse et leur autorité. Quand les Maîtres verront que de nouveau ils sont écoutés et respectés, ils reviendront nous aider à changer le monde. Les hommes croient pouvoir se passer de Maîtres ; non, toujours il y aura des Maîtres, ils sont les représentants de Dieu. Tant que j’aurai un souffle, j’inciterai et j’inviterai les gens à s’humilier devant les grands Maîtres. C’est l’esprit d’anarchie qui pousse l’homme à vouloir se passer des Maîtres. Mais si on n’accepte pas les Maîtres de lumière, les maîtres noirs s’imposeront et on sera leur esclave.
      Je suis venu vous apporter ceci : l’admiration des Maîtres. Je m’incline devant eux et je les aime. S’il y a quelque chose de sacré, ce sont les Maîtres de lumière ; derrière eux il y a le divin, il y a Dieu. L’amour des Maîtres ne me fait pas oublier Dieu, mais je sais que l’on ne peut pas se passer de leur soutien. On est ignorant et tout petit ; imaginer que l’on peut réussir tout seul, c’est favoriser et renforcer l’esprit d’anarchie qui règne déjà.
      Nous sommes de tous petits représentants de la Synarchie et nous vous indiquons le chemin qui mène vers les grands Maîtres. Invoquez-les, tâchez de les comprendre. Rousseau avait de la Nature une compréhension anarchique. Etudiez-la, mais placez-la après Dieu ; la conception de la Nature sans Dieu est une conception païenne, antique ; c’est l’enseignement du Taureau. Il faut admirer la Nature, en la mettant à la deuxième place ; en premier lieu, l’Esprit. Donner la priorité au principe féminin, à la nature, conditionne toute chose, modifie les arts. Accorder la suprématie à l’Esprit, c’est tout autre chose ; il faut les deux Principes, chacun à sa place !
      Les catholiques vont déclarer que nous nous trompons. D’autres diront : « Faites le bien, c’est ce qui compte. Tous les hommes sont enfants de Dieu. » Les catholiques sont dans l’erreur quand ils pensent à être les seuls à détenir la vérité ; en réalité, ils sont aveugles. Cherchons la vérité. Du moment qu’une vérité me permet de faire le bien, je l’accepte. Il n’y a qu’un Dieu. Par son nom, la religion catholique est la vraie (catholique signifie universel), mais ses représentants se trompent ; ils n’ont gardé que le nom, l’enseigne. En réalité je suis plus catholique qu’eux, puisque je vis dans la vérité. Il faut faire appel à un arbitre qui soit au-dessus des religions et des confessions  Religion veut dire : liaison avec le Créateur. Une religion est bonne quand elle établit vraiment la liaison avec Dieu. Celui qui est lié à son Créateur vit dans la vraie religion. Si on aime Dieu, on est lié à Lui. Si on aime Dieu, on aime son prochain, parce qu’on voit Dieu en Lui.
      Que l’on soit baptisé dans telle religion ou dans telle autre, cela n’a pas d’importance ; ce qui compte, c’est la manière dont on vit, l’application que l’on fait, dans la vie, des préceptes et des principes religieux. Les baptisés qui n’appliquent pas ne sont pas chrétiens. Dieu sait si vous êtes sincère, honnête, alors même que les hommes vous condamnent parce que vous n’êtes pas dans leur forme de religion à eux : que les catholiques me brûlent, cela ne signifie rien pour moi.
      Nous voulons amener les êtres vers le vrai Dieu, le Dieu de l’amour, du sacrifice, de la bonté, du don de soi. Qu’est-ce cette religion qui demande de l’argent pour vous baptiser, vous marier, vous enterrer ? Les gens sont-ils aveugles ? Ne peuvent-ils comprendre qu’il est grand temps de devenir de vrais catholiques ? Le monde entier souffre de bigoterie et de cécité à cause de cette grave incompréhension. Je décide d’être clair, au risque d’être très mal jugé, tant pis ; les catholiques actuels comprennent-ils la vérité des Évangiles ? L’enseignement  de l’Eglise est-il celui du Christ ? Les chrétiens du premier siècle furent de vrais catholiques. Oui, pour être religieux, il faut se mettre à étudier et méditer les Évangiles. Je suis venu vous apporter l’enseignement du Christ tel qu’il était à l’origine. Je suis qualifié pour en parler. Par la suite, au cours des siècles, de grands changements ont faussé la vraie religion du Christ. L’Église a adopté les vêtements, les symboles et les rites venant de l’Égypte ou du temple de Jérusalem. Jésus n’a rien instauré dans ce domaine. Noël était une fête des millénaires avant la venue du Christ ; que signifie le mot Noël ? Salut nouveau. Les Druides célébraient une fête semblable le 25 mars.
      Qu’est-ce que le Christ a apporté de nouveau ? Son exemple. Lui seul s’est  humilié jusqu’a se laisser crucifier pour prouver que la loi de l’amour et du sacrifice est plus puissante que tout. C’est pour cela qu’il laissa une trace sur le monde entier et pour toujours ; le Christ dominera l’univers dans tous les siècles. Christ veut dire Amour ; la loi du Christ, c’est l’amour, la douceur, le pardon qui ouvre la voie de la libération, qui fait payer toutes les dettes du karma. Christ a laisser ses disciples être brûlés, déchirés par les fauves, parce qu’il voulait les sauver pour toujours des liens karmiques de la réincarnation.
      La loi du Christ est celle qui permet la libération la plus rapide. Les catholiques sont très loin de la pratiquer ; le vrai catholicisme est de pardonner et de servir. Il est des gens qui se tendent la main, qui s’aiment et s’apprécient jusqu’au moment où ils apprennent qu’ils ne sont pas de la même religion ou de la même confession ; pourquoi deviennent-ils alors des ennemis ? Savoir à quelle religion vous appartenez ? Non, savoir plutôt si vous êtes compréhensif, généreux, sincère ; savoir comment vous vivez : c’est cela qui compte.
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(Lire aussi la Conférence No : 443, « L’Orient et l’Occident ») – l’Agartha, la Synarchie,…-

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Détail des PQ et conférence


1 - À la première place, il y a le monde intérieur : -21
2 - Les idéologies politiques
3 - Vous devez d’abord vous purifier :
4 - La compréhension : -22
5 – L’homme a à sa disposition des instruments bien supérieurs à l’intellect.
6 - L’intuition est la véritable intelligence :
7 - Changez d’attitude et les conditions changeront : -23
8 - Éveillez vos centres spirituels :
9 - Si vous aimez la nature, elle parlera en vous :
10 - Interpréter correctement le mythe du péché originel : -24
11 - C’est la lumière qui pense, qui parle, qui chante, qui crée :

12 – La capacité de se concentrer sur le monde divin : -25

12 - Ne pas se conformer aux Lois divines, c’est ça l’anarchie :
13 - Science et Religion ; deux approches complémentaires, non antagonistes :
14 – Place et rôle des deux principes : -26

Conférence du 24 février 1945, No 286 : « L’Origine des Schismes » -26



FIN